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Kesako
24 novembre 2004

Dossier Guerre Economique

Après l'Expansion, c'est au tour du quotidien Libération de consacrer un dossier à l'intelligence économique ou plus précisément à la guerre économique. Sept articles sont à lire :
  • L'Etat à la traque aux intrus économiques
  • Editorial : Incantatoire
    Morceaux choisis :"L'état de guerre économique est déclaré, l'Etat appelle aux armes ses citoyens." "Que le gouvernement s'occupe d'intelligence économique, pourquoi pas ? Mais que ne s'occupe-t-il plutôt d'intelligence tout court, en investissant davantage dans la recherche et l'enseignement par exemple ?"
  • Naissance d'un concept
  • Une école de guerre très particulière
    projecteur sur l'EGE et l'enseignement dipensé. Morceaux choisis : "Ce qu'on nous enseigne par rapport aux adversaires frise l'immoralité, résume-t-elle. Il s'agit de dénicher les aspects illégaux de l'activité d'une entreprise comme les pots de vin, prouver qu'il y a eu une intox ou l'implication des dirigeants dans une malversation. Il faut écraser les adversaires." Ceux-ci sont tout désignés. "Il y a la Chine, mais les Etats-Unis, c'est l'urgence, estime Harbulot. Il y a une véritable compétition industrielle, et beaucoup de domaines où on a tout à perdre. On ne peut pas se laisser faire."
  • Ere du soupçon dans les secteurs sensibles
    L'entrée de capitaux américains dans des groupes stratégiques est surveillée de près.
    Etudes de cas autour des affaires Gemplus, Arianespace, Arisem, Saft et Otor.
  • L'Allemagne protège déjà ses intérêts
    Brève qui rappelle qu'en mai, le ministre de l'Economie Allemand a fait adopter une loi imposant une autorisation gouvernementale pour toute transaction qui permettrait à un investisseur étranger de contrôler plus de 25 % du capital d'un groupe lié au secteur de la défense.
  • A savoir
    Chiffres et données clefs sur l'intelligence économique. Morceaux choisis : "42,4% du capital des entreprises françaises du CAC 40 étaient détenus par des non-résidents fin décembre 2002, selon la Banque de France."
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